Dans les bayts 309 à 324 de la Ta’eyya, Mawlana nous donne en effet un résumé de certaines qasaids et dans certains cas il nous demande ce que nous avons fait et à quoi elles nous ont servi.
310- Et quand la terre aura rejeté son fardeau Que glanerez-vous de la récolte de ma « Nuniyya »
Dans ce bayt, Mawlana nous demande de rendre compte de l’usage que nous avons fait de la Nuniyya mais la même question s’applique aussi bien à toutes les qasaids.
La Terre qui rejette son fardeau est interpretée de deux façons qui sont toutes les deux valables:
1) Il s’agit des cerveaux des mourids et le fardeau, c’est le produit du tadaross. Donc, Mawlana nous demande ce que nous avons fait du produit de notre reflexion collective; l’avons-nous partagé? En avons-nous fait profiter l’ensemble de la tariqa? Parce que sinon, le tadaross n’aura servi à rien et Mawlana nous a promis que les qasaids reprendraient seulement si nous produisons un recueil de notre reflexion collective.
2) La terre, c’est le cerveau de Mawlana et les qasaids sont elles- mêmes le fardeau. Alors, qu’en avons-nous fait aprés les avoir recues?
ici, on nous offre un interpretation alternative du deuxiéme hémistiche )أَْوُك ُّلَمْنَوأََداْلَبِریَئَةَجاِني(:baytNo.2delaNuniyya
“Jâni”= 1) Coupable.2) Quelqu’un qui récolte le produit d’une semence.
Interprétation 1: ” Et celui qui a enterré l’innocente n’est pas toujours coupable”.
Interprétation 2: En lien avec le bayt No. 310 de la Ta’eyya serait:” ” Et celui qui a enterré l’innocente ne récoltera pas toujours”
310- Et quand la terre aura rejeté son fardeau Que glanerez-vous de la récolte de ma « Nuniyya »
Dans ce bayt, Mawlana nous demande de rendre compte de l’usage que nous avons fait de la Nuniyya mais la même question s’applique aussi bien à toutes les qasaids.
La Terre qui rejette son fardeau est interpretée de deux façons qui sont toutes les deux valables:
1) Il s’agit des cerveaux des mourids et le fardeau, c’est le produit du tadaross. Donc, Mawlana nous demande ce que nous avons fait du produit de notre reflexion collective; l’avons-nous partagé? En avons-nous fait profiter l’ensemble de la tariqa? Parce que sinon, le tadaross n’aura servi à rien et Mawlana nous a promis que les qasaids reprendraient seulement si nous produisons un recueil de notre reflexion collective.
2) La terre, c’est le cerveau de Mawlana et les qasaids sont elles- mêmes le fardeau. Alors, qu’en avons-nous fait aprés les avoir recues?
ici, on nous offre un interpretation alternative du deuxiéme hémistiche )أَْوُك ُّلَمْنَوأََداْلَبِریَئَةَجاِني(:baytNo.2delaNuniyya
“Jâni”= 1) Coupable.2) Quelqu’un qui récolte le produit d’une semence.
Interprétation 1: ” Et celui qui a enterré l’innocente n’est pas toujours coupable”.
Interprétation 2: En lien avec le bayt No. 310 de la Ta’eyya serait:” ” Et celui qui a enterré l’innocente ne récoltera pas toujours”
“L’innocente” dans la deuxième interprétation réfère aux qasaids qui sont véridique, authentiques et ne contiennent aucune fausseté ou hypocrisie. Donc, celui qui enterre les qasaids, soit en les négligeant carrément ou en cachant les sciences qu’elles lui ont révélé, n’en récoltera pas les fruits, elles ne lui donneront pas leur madad et son cerveau sera ce que Mawlana décrit dans le Bayt. No 8 de la Nuniyya une “terre plate et aride” où rien de bon ne pousse car elle ne retient pas l’eau.
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